Donc, j'étais à cheval, et la jeune fille en question faisait mine de regarder la mer. Il faisait une température un peu fraîche pour l'époque, les derniers vacanciers s'étaient enfournés dans un de ses longs défilés de voitures qui s'éloignent vers les mégalopoles. Les personnages principaux étaient elle, la mer et moi.

Comme je suis parfois d'un naturel timide, je commençai par m'asseoir à quelques pas et à compter les grains de sable de la plage. Mais la plage était petite et au bout de quelques jours, il fallut bien lui adresser la parole.

- vous avez un très joli visage, lui dis-je, en contemplant goulûment ses seins.